Title: Über einige neue Krystallformen des limenorutils, p. 533-547
Author: Pawel Wladimirowich Jeremejew (1830–1899)
Year: 1878 ("lu le 25 octobre 1877")
Journal title: Bulletin de l'Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg, t. 24
Publisher: Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg
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Subjects: Science; Science -- Soviet Union
Publisher: (St. -Ptersbourg), Acadmie impriale des sciences
Contributing Library: New York Botanical Garden, LuEsther T. Mertz Library
Digitizing Sponsor: The LuEsther T Mertz Library, the New York Botanical Garden

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547 ISiiiletisi d£' r/1keadt>3siBi> EBSïp«>rîalo 548 perpendiciililre Linie crscheint. Ein uhnliches glf^ich- zeitigos Auftreten beider Zwilliugsgesetze au einem und dcmselbeu Exemplare bemerkte F. Hessenberg bel einigen Krystallcn des Rutils von Magnet Cove in Arkansas. Fast aile Krystalle des Ilmenorutils, die zu dicsem Typus geliuren und bauptsiichlicli die Combiuation der tetragonaleu Prismen ooPoo(h), ooP(m) und Pyrarai-
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den Poo(e) und P(o) darstellen, liaben in Folge der grossen Entvvickehing einiger Flachen ooPco(h) und Poo(e)eine dicktafelformige Gestalt und belialtcn nur selten den pyramidalen Charaktcr durcli ein Vorherr- sclien von Flâclien der tetragonaleu Hauptpyramide P(o) bel. In beiden Fallen bilden die Krystalle vor- ziiglich Vierlinge, in welcben zwei Paare, die nacli dera gewohnlichen Gesetz entwickelt sind, d. b. paral- lel zur Flâclie der Pyramide Poo(e), so mit einander verwachsen, dass die Flacben der Prismen zweiter Art ooPoo(h) zweier zunâclist stehender Individuen und zwar speciell des zweiteu und dritteu sich unter einem Winkel von 120° 17'38" begegnen. In Folge einer solchen Verwaclisungsart ist es klar, dass das erste Individuum des Vierlings mit dem 3 und das 2 mit dem 4 nacli W. Millers Gesetz verbundon ist, d. li., pa- rallel zu den Fliiclien der tetragonaleu Pyramide SPoo, wobei die Krystallaxen der erwahnten Individuen unter den Winkeln 54° 45'32" und 125"" 14' 28" ge- neigt sind. Nur in dem unlangst von J. Muscliketow in der Nillie des Wschiwoje-Sees entdecktcn Fundorte des Il- menorutils ist es mir gelungen, Krystalle, sowohl diè- ses als auch des vorbergehenden Typus anzutreffen. Du développement des oéphalodies sur le thailus du lichen Peltigera aphthosa. Hoffm. Par M. Babikof. (Lu le 22 .novembre 1877.) (Avec une plauolit'.) On donne le nom de cépbalodies aux excroissances particulières qui se trouvent sur la surface de quel- ques licbens. Elles se composent d'uu tissu cellulaire présentant l'aspect de globules, de renflements verru- queux, ou de petites verrues. Leur couleur tranche sur celle du lichen lui-même. La structure des cépba- lodies n'est connue que chez peu de lichens, et il n'y a jusqu'à présent que bien peu de données exactes concernant l'histoire de leur développement, hors quelques hypothèses, assez vraisemblables du reste, mais qui ne sont pas encore constatées par les faits. Les céiihalodies se rencontrent sur beaucoup de li- chens, mais les mieux étudiées se trouvent sur quel- ques représentants du genre Sfereocaidon; je me bor- nerai, par conséquent, à un exposé sommaire de la littérature, concernant ce dernier genre. M. Nylander ') les compare aux bulbes: «forte bulbillis comparanda» et en donne la définition sui- vante: les véritables céplialodies des Stereocaidon se présentent sous la forme d'excroissances d'un aspect très varié, elles sont composées de trois tissus diffé- rents, qui correspondent aux parties d'autres lichens: 1) systema corticale, 2) systema gonimion et 3) sy- stema medullare. Quant aux gonidies il en distingue aussi trois types: 1) stratum gonimon scytoneraoideum, 2) Stratum gonimon sirosiphonoideum et 3) Stratum gonimon e modulis gonimicis formatum. Ces trois types de gonidies sont adoptés par M. Nylander comme caractères distinctifs des différentes espèces de Stc' rcocanlon. M. Tli. Frics-) constata, que ces différents types de gonidies peuvent se trouver réunis, non seule- ment dans difiërentes cépbalodies du même lichen, mais, très souvent, dans la môme céphalodie, par ex., chez le Stcrcoccnilon ranmlosiim. En conséquence il n'accepte pas les trois types de gonidies de Nylander comme caractères spécifiques pour la définition des différents Stcrcocaulon. M. Fries trouva aussi sur le podetium du Stcreo- 1) Aun. (les se. nat., 4""'- série. T. XI, pag. i'fl. 2) Kries, Flora, 1866, pag. 17.

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